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Modèle pour réussir

Lorsqu'on n'arrive pas à atteindre ses buts, ses objectifs, il y a 2 éléments sur lesquels nous devons nous pencher.

1- la stratégie  

2- nos comportements 

Pièces d'échec

Stratégie

Claire et précise

 

Avec des objectifs intermédiaires

alignés

Imparfaite

+

Pièces d'échec

Comportements

La stratégie

Notre stratégie doit être:

1. Claire et précise pour perdurer dans le temps

Le cerveau ne peut pas produire de la motivation (dopamine) avec une stratégie abstraite. 

La précision aide à l'organisation, et l'organisation aide à créer des habitudes.

On peut s'inspirer des objectifs SMART:

Modifier: "Je veux augmenter mon chiffre d'affaires." pour "Je veux augmenter les ventes de mon produit X de 50 000$."

2. Déclinée en objectifs intermédiaires alignés réalisables

Les stratégies qui nécessitent des objectifs trop importants doivent être divisées en des objectifs intermédiaires plus petits et plus motivants à atteindre. Pour nourrir notre besoin d'accomplissement, il est important de célébrer nos petites victoires et d'être conscient.e.s que nous progressons.

Alignés avec:

  • Nous-mêmes (nos besoins intrinsèques): nos valeurs, nos croyances, nos aspirations. La bonne stratégie pour quelqu'un d'autre peut ne pas être adaptée à nos besoins.

Sortons de notre zone de confort! Si c'est inconfortable, y'a des chances que ce soit une bonne opportunité de croissance! Inconfortable mais pas douloureux!

  • Nos capacités: être capable de se projeter avoir atteint l'objectif.

  • Nos ressources et notre ingéniosité: demander de l'aide et trouver des solutions créatives pour atteindre nos objectifs.

  • Nos VRAIS résultats attendus: prendre le temps de se connecter avec nos véritables aspirations et désirs.

Par exemple, voulons-nous réellement augmenter notre chiffre d'affaires ou cherchons-nous à être reconnu.e.s, accepté.e.s ou à avoir une augmentation de note salaire ou nos profits ?

  • Les émotions positives que nous aimons ressentir.

Assurons-nous que nos objectifs ne soient pas biasés par l'aversion de la perte! Ce biais peut influencer notre prise de décision et nous amener à éviter les risques, même lorsque les gains potentiels sont plus importants que les pertes.

L'aversion de la perte est un biais cognitif qui nous amène à attribuer subjectivement plus de poids à une perte qu’à un gain de valeur objectivement équivalente.​

3. Flexible

Pour élaborer une stratégie gagnante, il est essentiel qu'elle reste flexible. Le monde évolue constamment et nous devons nous adapter en conséquence.

Si les actions que nous mettons en place ne produisent pas les résultats escomptés, il est impératif que nous modifiions ces actions. Reprendre les mêmes étapes si votre gâteau ne lève pas ne produira pas de résultats différents.

Même si vous pensez avoir tout essayé, il est toujours possible d'explorer de nouvelles avenues.

C'est ici qu'on se trompe le plus souvent!

4. Parfaitement imparfaite

Pour élaborer une stratégie gagnante, il est essentiel qu'elle reste flexible. Le monde évolue constamment et nous devons nous adapter en conséquence.

Si les actions que nous mettons en place ne produisent pas les résultats escomptés, il est impératif que nous modifiions ces actions. Reprendre les mêmes étapes si votre gâteau ne lève pas ne produira pas de résultats différents.

Même si vous pensez avoir tout essayé, il est toujours possible d'explorer de nouvelles avenues.

Ressources

Argent:

ressources matérielles, humaines, technologiques, l'expérience)

Temps

Énergie

Ingéniosité

Créativité

Intuition

Ouverture / débrouillardise

Détermination

Passion / bienveillance

5. Qui implique des collaborateurs

Comme le dit le proverbe africain : "Seul on va vite, ensemble on va loin". Il est important de se faire aider pour élaborer notre stratégie mais aussi pour atteindre nos objectifs. Bien que notre volonté nous permette d'accomplir une partie du chemin, il est essentiel de trouver quelqu'un qui puisse nous aider à maintenir notre motivation et à nous rappeler nos objectifs profonds.

De plus, recevoir des encouragements et des félicitations de la part de nos collaborateurs peut déclencher une libération de sérotonine dans notre cerveau, ce qui peut nous faire sentir plus heureux, plus motivés et plus confiants dans notre capacité à atteindre nos objectifs.

LES STRATÉGIES MOTIVANTES

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Les comportements

1. Notre focus

Nos actions sont directement influencées par ce sur quoi nous mettons notre attention.

Il est fréquent de se laisser distraire par des préoccupations futiles, telles que ce que les autres pensent de nous à cause d'un comportement ou d'une parole ou ce que nous pensons de nous-même:

"Je ne suis pas capable", "je n'ai pas les bonnes ressources"...

Si nous remarquons que ce sur quoi nous nous concentrons nous limite, il est temps de changer votre focus. Il peut être nécessaire de remettre en question certaines croyances, notamment celles en rapport avec le temps.

"Je suis trop jeune, trop veille, ..."

C'est normal d'avoir peur. Tout le monde a peur. Il est donc essentiel d'apprendre à connaître ses peurs pour mieux les surmonter et se concentrer sur les éléments positifs qu'elles peuvent apporter.

Outils:

  • Transférer l'énergie : dirigez votre énergie vers les parties de votre corps qui nous aideront à être dans action (du coeur aux jambes, par exemple).

  • Utiliser des métaphores, des images ou de la musique : identifier ce qui nous motive et l'utiliser pour nous encourager. Par exemple, nous pouvons nous imaginer en train de franchir la ligne d'arrivée ou écouter une chanson qui nous donne de l'énergie.

  • Bâtir sur nos forces: observer notre parcours, noter nos réussites, nos qualités...

  • Cultiver notre gratitude.

  • S'imaginer changer de chapeau, tel un acteur qui entre en scène et devient un autre personnage, en se concentrant sur le rôle à jouer.

  • Intégrer les 3 prémisses qui nous aider à nous concentrer sur nos solutions et non les problèmes: 

#1. Les problèmes sont temporaires et peuvent être résolus. Lorsqu'on cherche depuis longtemps des solutions, notre cerveau a tendance à anticiper le pire. Cela peut nous amener à nous résigner.

#2. Il ne faut pas laisser le problème devenir envahissant. Des fois, on a l’impression qu'un seul mauvais moment, un mot ou une décision peut avoir un impact sur tous les aspects de notre vie.

#3. Il faut se dissocier du problème.

Nous sommes tous imparfait et c’est parfait ainsi. Par contre, notre valeur ne peut être affectée par nos problèmes. Cessons aussi de tout prendre personnel. Souvent la réaction de l’autre n’a aucun lien avec soi. 

2. Le sens que l'on donne à ce qu'il nous arrive

Lorsque nous commettons une erreur, nous pouvons penser:

"Je suis juste pas bon.ne" ou "J'ai appris et je sais comment m'améliorer maintenant".  Selon notre choix, notre réaction, notre comportement sera différent.

Il est important de donner un aspect positif à nos expériences pour nous encourager à continuer à apprendre et à grandir.

Il est également important d'utiliser le bon vocabulaire pour donner un sens positif à ce que l'on vit. Par exemple, plutôt que de dire "Je souffre de solitude", on peut dire "J'ai de la difficulté à vivre ma solitude".

Différence entre douleur et souffrance:

Il est normal de ressentir de la douleur, d'avoir mal, tant sur le plan psychologique que physique. Toutefois, lorsque nous disons que nous "souffrons" de quelque chose, cela implique que nous ne pensons pas avoir de solution pour y remédier. C'est pourquoi il est important de faire attention à notre choix de mots.

Nous pouvons donc choisir de changer notre langage pour nous aider à modifier notre comportement. Par exemple, plutôt que de dire "Je souffre de...", nous pouvons dire "Je fais face à un défi". Cela nous permet de reconnaître la difficulté tout en nous encourageant à chercher des solutions pour y faire face. En utilisant des mots plus positifs, nous pouvons améliorer notre état d'esprit et notre motivation à trouver des solutions.

Nos mots ont un impact sur notre comportement et notre bien-être. Si nous utilisons des mots négatifs, cela peut nous amener à penser que nous n'avons pas de solution. En choisissant des mots positifs, nous pouvons nous motiver à trouver des solutions et à changer notre comportement.

3. Notre physiologie

La façon dont nous nous tenons, respirons, mangeons, regardons et sourions influence notre comportement. Essayez de raconter une bonne blague avec une posture triste et affaissée ! En revanche, le simple fait de sourire nous permet de libérer des endorphines, les hormones du bonheur.

 

Notez que si notre physiologie ne suit plus, il est peut-être le moment de prendre soin de notre corps: 

Dormir, bien manger, bouger, s’offrir de beaux petits moments bienveillants, du repos ...

Dopamine

hormone de la motivation, du plaisir, de l’excitation

être récompensé.e, compléter une tâche, célébrer les petites victoires, cuisiner, dormir suffisamment, réussir un défi ou atteindre un objectif, prendre soin de soi…

Sérotonine

hormone de la bonne humeur, anti-stress naturel, «hormone du leader, de la reconnaissance»

méditer, prendre une douche froide, marcher en nature, prendre du soleil, écouter de la musique, faire du yoga, se sentir valorisé.e, être reconnu.e (ou remarquer l’influence positive), exprimer la gratitude...

Endorphine

sorte de morphine naturelle, hormone relaxante

danser, faire de l’exercice ,méditer, faire l’amour, rire, jouer, chanter, pratiquer un loisir, pleurer (pour relâcher les tensions)...

Ocytocine

hormone de l’attachement, de la sécurité intérieure et de l’amour

(se) faire un câlin, complimenter quelqu’un, appeler un ami, offrir un cadeau, rendre un service, flatter un animal, pouvoir compter sur les autres, avoir et donner confiance, faire une bonne action...

aide à l’état de confiance vis-à-vis d'autrui

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